Mariés depuis plus de dix ans, nous nous sommes rencontrés, ma femme et moi, à l’université. A l’époque, je me considérais comme Don Juan, mais rien que le fait d’aborder et d’avoir pu sortir avec Anna m’a beaucoup flatté. Notre vie amoureuse était, durant plusieurs années, fabuleuse et je sais qu’elle ne m’a jamais trompé. Anna est une fille du Texas qui a grandi dans un petit ranch aux alentours de Dallas, ce qui fait d’Anna une vraie cowgirl « typique ».
Physiquement, elle est presque aussi grande que moi, mince, les jambes longues et a les cheveux longs et foncés. A vingt-neuf ans, c’est une beauté et j’en suis fier !
Après un passage dans l’armée de l’air, j’ai décidé d’exploiter mes compétences en informatique pour accéder à un poste de direction dans une startup. Un de mes emplois consiste à rencontrer des clients de l’extérieur de la ville, de les inviter à dîner et les mettre à l’aise. J’ai parfois permis à certains d’entre eux, hommes et femmes, de passer la nuit dans notre grande maison spacieuse. C’était le cas de Walt, un vieux monsieur qui était un vieil ami de l’un de mes boss. Walt avait entre cinquante et soixante ans, un grand homme d’apparence sportive, mais qui développait un peu de ventre. Il s’habillait avec goût et portait une Rolex ce qui nous a laissé penser, Anna et moi, qu’il devait être fortuné.
Après qu’il nous ait conviés à un dîner gastronomique somptueux au cours duquel nous avons consommé plusieurs bouteilles de bon vin, nous sommes rentrés ensemble à la maison pour un dernier verre avant le coucher. Ce petit verre a duré environ deux heures, au cours desquelles Anna a servi des craquelins et du fromage. Après la première heure, la conversation s’est, surtout, faite entre Anna et Walt car le vin a déjà fait son effet sur moi. Mes yeux s’affaissèrent, mais je pouvais encore voir ce bon vieux Walt se rapprocher de plus en plus d’Anna qui ne le repoussait pas et commencer à la taquiner avec les mains quand il en avait l’occasion.
En manque de boissons, Anna se leva pour apporter plus de vin du bar qui était dans le salon, et Walt la suivit, glissa ses mains autour de sa taille et embrassa lentement son cou. Croyant, au début, que c’était juste l’effet du vin, elle en ria mais il se montra, ensuite, plus audacieux. Il la tourna et passa ses mains sur ses hanches. Anna le repoussa, secoua le doigt avec colère et dit : «Non !». Walt se contenta d’en rire, mais quand elle se retourna vers le bar, il se mit derrière elle. Glissant ses bras autour de sa taille, il essaya de l’embrasser. Appuyée contre le bar, elle tourna la tête vers le côté pour esquiver sa bouche, mais je pouvais voir ses mains se mettre sur son petit cul qu’il colla à son pénis. Après une courte lutte, ils retournèrent dans le salon, mais je pus voir par le visage rouge d’Anna qu’elle était assez bouleversée.
Bien qu’elle m’ait appelé plusieurs fois, j’ai décidé, par volonté de voir jusqu’où pouvaient aller les choses et un peu par épuisement sous l’effet de l’alcool, de rester immobile, les regardant entre mes paupières entrefermées. Elle a finalement dit : «Walt, vous êtes un invité chez nous et un ami de l’employeur de Pat, mais cela ne vous donne pas le droit de dépasser certaines limites. Donnez-moi votre parole que vous ne recommencerez plus !
– Bien sûr. Au fait, Pat a l’air d’être dans les vapes. », répondit Walt.
« Oui, nous devrions tous aller nous coucher. Pourriez-vous me donner un coup de main pour l’emmener jusqu’à sa chambre ? », lui demanda-elle.
J’étais mou comme un chiffon quand ils m’ont porté et m’ont mis sur le lit. J’ai attendu un instant avant de me glisser en silence pour les regarder à travers la fissure de la porte entre ouverte de la chambre. Ils étaient assis sur le canapé et Walt essayait encore de l’embrasser alors qu’elle le repoussait en secouant la tête. Il la força finalement à reculer et mis son visage contre son cou. Je pouvais entendre ses doux murmures de protestation, mais Walt semblait les ignorer totalement. Soudain, j’ai remarqué que ses mains étaient sur ses seins, les pétrissant, pinçant ses mamelons à travers sa chemise blanche. Il déboutonna, ensuite, sa chemise alors qu’elle le regardait. «Attention, je vais crier !», l’entendis-je lui dire. « Pat est dans la pièce voisine. Il m’entendra et viendra. »
Walt se mit à rire. « Un train de marchandises ne le réveillera pas. Détends-toi un peu ! »
Elle commença à dire quelque chose, mais Walt écrasa sa bouche sur la sienne. Je pouvais voir qu’elle faisait un effort honnête pour résister, mais il était juste trop fort pour elle, l’immobilisant complétement. Ses seins, désormais, nus, il jouait avec ses mamelons en l’embrassant sauvagement. Ensuite, il glissa sa main sur son ventre et jusqu’à sous sa jupe, l’obligeant à écarter les jambes.
J’étais, soudain, conscient que j’étais passé d’un homme curieux de savoir si sa femme serait fidèle même en compagnie d’un autre homme, à un mari candauliste qui est tout excité en regardant sa femme se faire prendre par un autre homme. Terriblement excité, j’avais l’impression que ma queue voulait déchirer mon pantalon pour sortir.
La jupe d’Anna était à sa taille, et le genou de Walt était entre ses longues jambes alors qu’il luttait pour enlever sa culotte. Je l’entendis dire : «Non, mon Dieu, Walt. Arrêtez maintenant ! ».
Mais Walt n’était pas prêt de s’arrêter. Enfin, débarrassé de sa culotte, Walt s’est glissé entre ses cuisses, lui écartant les deux jambes avec ses bras et a littéralement plaqué sa bouche contre la chatte de ma femme. Je l’ai entendue, alors, pousser un petit gémissement de plaisir et là je ne pouvais m’empêcher de saisir ma bite déchaînée.
Au début, elle était simplement allongée sur le canapé, mais après un certain temps, je l’ai vu serrer ses cuisses, ses orteils nus commençant à se crisper lentement. Walt se rapprochait de plus en plus d’elle. Tout en donnant son cunnilingus, j’ai vu qu’il a ouvert son pantalon, l’a baissé et sorti sa grosse bite bien raide. Mon excitation était inimaginable, mais j’essayais, à contrecœur, de forcer mes mains à s’éloigner de ma bite.
Ma belle Anna était, aussi, toute excitée, caressant ses seins et crispant le visage. Et tout à coup, elle serra tellement ses cuisses contre sa tête que Walt s’arrêta et remonta vers elle. J’ai vu son pénis commencer à s’approcher et caresser la chatte d’Anna. Il était plus grand que le mien, plus épais aussi. Il n’hésita pas et colla sa bite et ses couilles bien lourdes contre la chatte humide d’Anna alors qu’elle gémissait doucement. Puis il entra dans le vif du sujet. Il enfonça violemment sa bite dans le vagin de ma femme et commença à la baiser.
Au début, elle a essayé de résister, de le repousser doucement, mais finalement elle gémit et enveloppa ses bras autour de son dos, tenant vigoureusement ses fesses dans ses mains. Ça n’a pas duré trop longtemps. J’ai tout écouté, tout vu, au point de ne plus pouvoir me retenir. J’ai, pour la première fois, éjaculé sans les mains ! Walt s’est étendu sur elle pendant quelques instants et je pouvais même voir son foutre dégoulinant entre les fesses d’Anna et jusque sur le sol. Heureusement qu’il ne l’a pas fait dans sa chatte !
Après un moment, Walt s’est levé et je suis retourné dans mon lit. Un instant plus tard, Anna ouvrit la porte et jeta un coup d’œil, surement pour s’assurer que j’étais bien endormi, et s’en alla.
J’ai attendu quelques secondes avant de retourner pour les observer. Walt état étendu sur un canapé, exténué, alors qu’Anna était en train de lui lécher et sucer sa queue bien molle. Mon sexe remuait encore, mais j’étais totalement fatigué, alors je suis allé me coucher. Je n’ai pas su quand est-ce qu’ils se sont endormis.
Le lendemain, j’ai fait mine de ne rien savoir et je n’en ai pas encore discuté avec ma femme, mais je suis ravi de mon nouveau statut de mari cocu !
Fin
Les hommes très âgés sont les amants que ma femme préfère. Elles les aime âgés, mais également bien portant. Pourquoi ? Ce n’est pas original mais ça remonte à ses premières expériences dans son adolescence avec des membres de sa famille au début.
Moi ça m’arrange pour 2 raisons:
1) j’aime la regarder sous les caresses d’autres hommes
2) aucun risque qu’elle tombe amoureuse vu la grande différence (souvent plus de 35 ans d’écart) d’âge.