L’une des choses dont Marc jouissait le plus était lorsque Natalie, sa femme pendant vingt ans, tenait doucement sa queue dans sa main gauche et lui caressait, lentement, les boules avec sa main droite. C’était encore plus chaud quand elle se mettait seins nus et en bas, le taquinant en lui parlant de son fantasme candauliste. Il partait direct dans un monde de plaisir et de rêve. Mais ce fantasme ne s’est jamais encore réalisé. Natalie était heureuse de faire plaisir à son mari en le caressant et en lui racontant ce qu’il aimait entendre, mais sans aller plus loin dans ses fantasmes. Elle savait que cela excitait Marc et qu’il voulait que ça devienne réalité, mais pour elle, sauter le pas était impensable.
Aujourd’hui, Marc était dans le pays des rêves ! La bite à l’air, il ne voulait y toucher car une fois qu’il éjacule, toute sa libido s’évaporait. Au lieu de ça, il préférait faire plaisir à sa femme en lui offrant quelques bons orgasmes avec ses doigts et sa langue. Ils étaient en osmose parfaite dans la mesure où il aimait lui bouffer la chatte et c’était ainsi qu’elle préférait se faire plaisir. Généralement, Marc commençait par lui caresser le clitoris en parlant de ses dernières «pensées coquines» qui, d’une manière ou d’une autre, tournent invariablement autour du candaulisme.
Leur jeu se déroulait ainsi : il la caressait jusqu’à l’orgasme avant qu’elle s’assoit sur son visage, collant sa chatte mouillée sur sa bouche et sa langue. Il adorait le symbolisme de cette situation très érotique car il s’imaginait en train de nettoyer la chatte de Natalie après qu’elle s’est faite défoncée par un autre homme. En suçant et léchant ses lèvres mouillées et son clitoris bien dur, il pouvait presque toujours aboutir au plaisir de l’érection et l’éjaculation sans les mains.
Quelques fois, après qu’elle ait eu ses orgasmes successifs, Natalie décidait d’aller plus loin dans le fantasme de son homme. Elle pouvait, alors, sucer le sperme ainsi éjecté sur le ventre de Marc et l’embrasser, la bouche remplie de son jus pour lui faire croire que c’est celui d’un autre. Parfois, aussi, elle l’attachait au lit et le branlait sauvagement et violemment et, quand il arrive à l’orgasme, dirigeait sa bite vers lui. Selon la puissance du jet, le sperme pouvait atterrir sur son ventre, son torse ou, mieux, sur son visage.
Il s’imaginait, alors, en train de regarder Natalie branler un autre homme qui lui éjaculait sur le corps en signe d’humiliation pour ce mari cocu et soumis.
Elle le laissait là, souillé par le sperme, fatigué, flasque et vidé. Elle prenait un malin plaisir à le regarder dans cet état et en lui riant au visage, façon de l’humilier encore plus. Elle n’hésitait pas non plus à rire de sa petite bite en lui disant que n’importe-quel autre homme aurait résisté beaucoup plus à une simple branlette.
Parfois, leur jeu allait un peu plus loin. En l’attachant au lit, Natalie lui caressait la queue doucement jusqu’à ce qu’elle devienne toute raide avant de monter dessus en cowgirl et de la baiser. Elle continuait à monter et descendre même après qu’il se soit vidé dans son vagin. Elle ne s’arrêtait que quand son petit pénis devient mou. Ensuite, elle serrait les fesses en se positionnant sur le visage de Marc et relâchait tout. C’est à ce moment que le sperme encore frais et chaud commence à descendre lentement de son vagin, sur ses grosses lèvres et finit dans la bouche grande ouverte de son cocu de mari.
Soumis et impuissant, il était obligé d’avaler son propre foutre en imaginant que c’est celui d’un autre homme qui vient d’offrir une creampie à sa femme offerte.
Ainsi, Marc et Natalie ont trouvé le bon mix : un jeu coquin, de l’humiliation érotique et des fantasmes candaulistes. Malheureusement, Natalie, tellement géniale et talentueuse à ce jeu, refusait encore de passer à l’acte et cocufier son mari. Elle pouvait s’habiller sexy sans avoir l’air vulgaire, elle pouvait taquiner et humilier son homme tout en étant amoureuse et attentionnée. Elle arrivait à entrer pleinement dans les fantasmes de son mari jusqu’à ce qu’il soit totalement à sa merci. Mais acceptera-t-elle, un jour, de passer du monde des fantasmes à la réalité candauliste ?
C’est ce que nous verrons prochainement.
FIN