A 35 ans, je menais une vie normale, avec une belle relation romantique avec ma femme, quand les choses ont changé très rapidement. En me remémorant tout ce qui s’est passé, je peux comprend, avec beaucoup de recul, comment cela m’est arrivé. Mais à ce moment-là, c’était tout à fait surprenant.
Maintenant, je me rends compte qu’à partir du moment où ma femme a commencé à monter sur moi, presser mes boules et jouer brutalement avec pendant que j’étais attaché au lit, c’était plus qu’un simple jeu pour elle. Ensuite, les choses ont évolués et elle a commencé à jouer avec mon cul en y introduisant un doigt, puis trois doigts, puis un vibromasseur tout en me masturbant. Souvent, pendant que nous faisions l’amour, elle évoquait son fantasme de grosse bite noire, mais c’était tellement amusant et nos orgasmes si intenses que je ne l’ai jamais prise au sérieux, même quand elle me disait qu’elle voulait me voir en prendre une. Pour elle, j’étais bien un mari soumis, prêt à se faire cocufier.
Un jeudi, nous sommes allés dans un bar pour prendre un verre après le boulot. Alors que je me suis assis à une table, ma femme a choisi de s’installer au bar. Il ne fallut pas longtemps avant qu’un homme ne commence à discuter avec autour de quelques verres. En un rien de temps, ils ont quitté le bar et sont allés dans sa chambre. Elle m’a, alors, fait signe de les suivre. J’ai attendu dans le couloir de l’hôtel alors que ma femme baisait avec son premier amant, un fonctionnaire de passage dans la ville nommé Pierre. Elle est sortie après environ 30 minutes avec un gros sourire sur le visage. En rentrant à la maison, elle m’a demandé de lui nettoyer la chatte. Comme ils utilisaient des préservatifs, je n’avais que son jus à la bouche. Je lui ai, alors, offert un bon cunnilingus, je l’ai baisée et nous nous sommes couchés.
Elle voyait Pierre chaque fois qu’il venait en ville, mais elle voulait toujours plus. Nous avons, alors, commencé à fréquenter un club libertin. La première nuit, elle a rencontré un gars, Marc, en s’asseyant sur ses genoux alors qu’il dégustait son verre seul dans un coin. Ils ont quitté le club et ont baisé dans mon fourgon pendant que je les regardais de l’extérieur. Elle l’a sucé, baisé et embrassé pendant plus de trois heures. En rentrant chez nous, sa chatte était tellement défoncée qu’elle ne pouvait pas se prendre la bite, mais elle m’a, quand même, obligé de la lui lécher.
C’était le début d’une longue aventure de candaulisme. Même si elle a continué à prendre son pied avec Marc et Pierre de temps en temps, elle adorait aller au club, choisi des hommes toujours plus jeunes et bien musclés et les baiser dans ma camionnette ou dans leur chambre d’hôtel.
Cependant, l’un de ses amants m’a vraiment marqué. Ce jeune homme lui a demandé de danser avant de quitter le club et d’aller dans mon Van. C’était un étudiant en ingénierie. Après plusieurs rendez-vous coquins, ils sont devenus vraiment proches. Un jour, pendant que je les regardais baiser dans la camionnette, elle sorti sa tête par la fenêtre pendant qu’il lui défonçait la chatte en levrette, m’a fait signe pour que je m’approche et m’a embrassé. Puis, elle passa ses doigts sur sa chatte et les enfonça dans ma bouche. Ils étaient couverts de sperme. Je me suis rendu compte qu’il n’utilisait plus de préservatif et qu’il s’est bien vidé en elle.
Arrivés à la maison, elle m’a dit de me déshabiller, a pris mes balles dans ses mains et m’a ordonné de me coucher sur le dos. J’ai d’abord résisté, mais elle s’est énervée en pressant mes couilles pour me soumettre à ses désirs. Elle s’est, ensuite, assise sur mon visage, la chatte pleine de sperme et m’a fait lécher tout le jus qui en sortait jusqu’à ce qu’elle soit bien propre. Pour me récompenser, elle a monté ma bite en cowgirl jusqu’à avoir ma creampie dans son vagin.
Ce genre de soirées est devenu un rituel chaque semaine. Ma femme offerte n’hésite plus à se taper celui qui lui plait et à me faire lécher sa chatte après qu’il ait fini de la baiser. Après quelques aventures, elle m’invite, désormais, à me joindre à son amant pour la partager avec lui lors de trios torrides et bien chauds.
Voilà, c’est comme ça que je suis passé du statut du mari ordinaire à celui de candauliste professionnel.
FIN
