Gérer une relation amoureuse n’est pas toujours facile. Mais par-dessus tout, une déloyauté fait mal. Pour passer outre les douleurs d’une trahison et les blessures qui viennent avec, il est de plus en plus tendance d’opter pour une solution gagnant gagnant. Les partenaires s’ouvrent alors à une relation ouverte ou une trahison contrôlée comme par exemple sur ce site rencontre candauliste. Entre candaulisme et voyeurisme, exhibitionnisme ou échangisme, quelles différences y a-t-il à savoir ?
Le candaulisme, une appréciation de l’infidélité
Pour bien comprendre cette pratique, il faut savoir que le candaulisme est différent de l’échangisme et du voyeurisme, c’est l’art de tirer satisfaction de l’infidélité. Appelée trahison contrôlée, cette pratique gagne en notoriété en France et en Occident.
Le candauliste (souvent l’homme cocu) regarde ou écoute le plaisir de sa femme en train de coucher avec un autre homme. Éventuellement, ils se sont préalablement donné la permission à ce type de relation.
La femme se voit alors autorisée à trahir et briser la fidélité. Le candauliste, lui, profite de cette situation. Parfois même, la candauliste aide sa femme à choisir son nouvel amant. Il participe aux réunions intimes des nouveaux amants et prend plaisir à les regarder s’adonner corps et âme. La seule pensée d’être trahi peut même parfois suffire pour arriver à une plénitude de satisfaction.
Le voyeurisme, l’art de regarder sans y être invité
En différence avec le candaulisme, le voyeurisme consiste à observer l’intimité sexuelle d’une personne et éprouver de l’excitation, mais sans avoir obtenu le consentement.
Le voyeur peut donc être une personne extérieure au couple. Dans ce cas, son objectif n’est pas obligatoirement d’avoir une relation sexuelle avec la personne concernée. Seul l’acte d’observer, de jeter un coup d’œil et d’assister en cachette à une scène intime lui procure une excitation.
Comme c’est à l’insu de la personne observée, l’autorisation mutuelle à l’observation n’est préalablement pas donnée. L’art du voyeurisme se fait en cachette.
L’exhibitionnisme, ravi d’exposer
L’exhibitionnisme est l’action d’exhiber sans pudeur en public ses parties intimes. Ici, la permission que ce soit de l’exhibitionniste ou du regardant n’est pas nécessaire.
L’exhibitionniste éprouve une réelle satisfaction à exposer son corps, ses sentiments, sa vie sexuelle et intime dans les endroits non adéquats. Son but : attirer l’attention ou carrément choquer les autres.
Une masturbation sur une place publique, les seins en l’air devant sa fenêtre les volets bien ouverts … Le plaisir d’être vu remplace l’acte sexuel en soi.
L’exhibitionnisme peut être perçu comme une déviation sexuelle voire même une perversion.
L’échangisme, l’ouverture à tout
L’échangisme est la trahison contrôlée. C’est un accord entre deux partenaires qui s’autorisent l’un l’autre d’une relation ouverte.
“Je peux sortir avec un autre et il peut sortir avec une autre. Tant que ça ne touche pas à notre relation, nous n’avons pas de compte à rendre”. C’est souvent avec humilité que les couples sujets à ce type de relation en parlent.
plus à aller trouver ailleurs, mais concerne la vie des villes petites et grandes.
La clé, le consentement
Que ce soit le candaulisme, le voyeurisme, l’exhibitionnisme ou l’échangisme, tous concernent l’intimité d’une personne. Mais ces types de relation sont axés sur la présence ou l’absence ou pas du consentement.
L’échangisme et le candaulisme nécessitent l’accord mutuel entre les partenaires. Cela leur a valu d’être des pratiques hyper prisées et tendances au lieu que les partenaires sombrent dans la douleur des trahisons.
En plus, la possibilité d’être protégé contre les IST les rend faciles d’usage et sans risque. On retrouve sur internet des portails pour exprimer ses désirs et des forums pour discuter. Il y a même de nos jours des clubs échangistes même si d’autres souhaitent garder leur intimité et recevoir ses convives intimes à la maison.