L’année dernière, j’ai été cocufié et humilié d’une manière très choquante par mon ami d’enfance (appelons-le Michel), un mec presque nain !
C’est une véritable histoire je cache depuis quelques temps et dont je veux parler dans ce récit. Je suis un homme assez grand et fort, d’environ 1m85, 95kg et un bidon de bière à la place du ventre. Mes bras sont forts et musclés, résultat des années passées en tant que charpentier. D’un autre côté, il y a ce Michel, un ami d’enfance qui dépasse à peine 1m45, est toujours surexcité et qui a sérieusement besoin de prendre du poids tellement il est mince.
Ma femme, quant à elle, est mariée avec moi depuis trois ans mais nous nous connaissons depuis plus de 6 ans. Elle a des hanches voluptueuses, un petit ventre et de gros seins naturels. Puisqu’il est question de taille, elle fait quasiment la même taille que moi.
Notre vie sexuelle stagnait depuis quelques mois et j’ai eu toujours envie qu’elle fasse l’amour avec un autre homme devant moi car je suis adepte de candaulisme. Quand j’ai discuté de mes fantasmes avec elle, elle les a, d’abord, trouvés un peu bizarres mais a, finalement, bien aimé l’idée.
Michel avait vu ma femme à plusieurs reprises et il m’a dit que si je n’arrêtais pas de boire comme un trou, il me piquerait ma femme et deviendrait son meilleur amant. Il disait ça en rigolant, bien sûr ! Mais l’idée ne me déplaisait pas totalement.
Un jour, je lui ai demandé s’il me ferait cocu. C’était l’occasion qu’il attendait et il m’a suggéré de m’humilier devant ma femme. Voulant vivre ce fantasme d’être dominé par mon pote physiquement inférieur m’a encore plus excité. J’ai accepté !
Dans les jours qui ont suivis cette conversation, j’ai réussi à convaincre ma femme de le faire. Elle craignait que je sois humilié mais, puisque Michel est mon meilleur copain, elle était d’accord. Aussitôt, j’ai prévenu Michel. Cette nuit-là, mon humiliation allait enfin se faire et mon fantasme allait devenir réalité.
Arrivé chez moi, Michel a commencé par me demander de me déshabiller. Je l’ai fait et je suis resté là, debout dans le salon en boxer, mon ventre et mon torse poilus bien à l’air. Il a ensuite demandé à ma femme d’apporter le martinet dans le coffre de sa voiture. Ce qu’elle a fait.
Le scénario était de me punir car j’ai encore bu excessivement alors que je lui ai promis de ne plus le faire. Ma femme était morte de rire. Je ne pouvais pas le croire, elle se moquait vraiment de moi ! Il m’a, alors, ordonné de mettre mes mains derrière mon dos.
« Je vais fouetter le ventre de ton mari, et tu vas compter », dit-il à ma femme. Il m’a ensuite fouetté le ventre vingt fois alors que mon épouse comptait chaque coup.
J’adorais cette humiliation. Je m’attendais à ce que ma femme intervienne ou au moins proteste. Mais elle comptait joyeusement. Michel m’a alors ordonné de me retourner et a fouetté mes fesses une trentaine de fois. La douleur était immense. Je ne pouvais pas m’asseoir correctement pendant les deux jours qui ont suivis !
Michel m’a attaché les mains derrière le dos. « Assures-toi de regarder chaque moment de ce qui va suivre. Ne perds aucun détail, aucune seconde, car je vais profiter du corps de ta femme et te faire cocu », dit-il en riant. Je hochais doucement la tête, impuissant devant ce spectacle qui dépassa toutes mes attentes.
Il a ordonné à ma femme de le porter comme un bébé. Comme il était petit et léger, ma femme l’a porté facilement. Il a serré ses jambes épaisses autour de sa taille et ils ont commencé à s’embrasser avec une passion sauvage. Ma femme le portait et l’embrassait en même temps ! Je jure qu’elle ne m’a jamais embrassé avec une telle passion. Michel suça sa langue, mordilla ses lèvres juteuses et lui massa les seins. Ils ont échangé de la salive avec ferveur et excitation et cela a duré au moins dix minutes.
Ensuite, Michel la déshabilla et versa du miel sur ses seins. Puisque ma femme a récemment accouché, il savait qu’elle allaite encore. Il buvait, donc, avec avidité le lait de ma femme mélangé au miel qu’il a versé. Ma femme allaitait l’homme qui m’avait humilié il y a quelques instants, devant moi ; Incroyable !
Ensuite, il lui a demandé de s’allonger sur le canapé avec la tête pendue hors du bord. Il s’est mis devant son visage et a inséré sa bite dans sa bouche. Je n’ai jamais eu l’idée d’une fellation aussi créative. Plusieurs fois, elle faillit s’étouffer alors qu’il avançait profondément sa bite dans sa gorge. Ensuite, ils ont baisé en position de cow-girl, ma femme montant et descendant énergiquement sur sa bite. Elle a même tourné autour de sa bite en la baisant.
Quand Michel a finalement atteint l’orgasme, il a demandé à ma femme de s’asseoir devant lui et de sortir sa langue. Il se vida les couilles dans sa bouche et elle avala avec avidité tout son sperme, sans en perdre une goutte. Elle lui a, même, léché la bite et les boules pour les nettoyer.
Ainsi, mon humiliation pour ce jour-là s’est terminée. Mais après cet épisode, Michel a continué à venir chez nous pour d’autres parties de candaulisme moins humiliantes mais tellement chaudes et créatives.
FIN