Ma Première Fellation Candauliste

Dans ce récit, j’ai décidé de partager avec vous une expérience récente que j’ai eue au cours de l’été dernier.

Je m’appelle Maria et je suis une infirmière vivant à Sydney en Australie. Je suis une femme qui a un peu plus de 50 ans, 1m70, brune et qui a pris quelques kilos en trop au fil des ans. J’ai de gros seins (100 E) avec de grandes auréoles sombres et des mamelons qui pointent à chaque excitation, des hanches larges et des cuisses bien charnues. Désormais un peu ‘’mature’’ comme on dit, j’attirais, dans ma jeunesse, fréquemment quelques sifflets et laissais les mecs rarement indifférent. Mariée depuis 25 ans, mon mari a quelques tendances candaulistes que j’apprécie beaucoup, sans trop en abuser. Cependant, il faut dire que j’ai couché avec deux hommes à part mon mari, l’un rencontré lors d’un séminaire mais pour l’autre vous devrez lire la suite pour le savoir.

En fait, notre vie sexuelle était trop normale à mon goût (deux fois par mois, grand max). Mon mari a fêté récemment ses 60 ans et, au cours de l’année dernière, a eu vraiment du mal à me faire l’amour. Pour être parfaitement franche, il ne m’a pas vraiment manqué, surtout que son pénis fait seulement 11cm en érection, et après 3 enfants, je le ressens à peine en faisant l’amour. Je me suis, donc, toujours masturber pour satisfaire mes envies.

Récemment, je me suis sentie plus excitée que d’habitude et je me surprends en train de me masturber tout en surfant sur le net. Je pense que ma libido s’est réveillée après la thérapie hormonale que mon médecin m’a prescrite pour mes bouffées de chaleur. J’ai oublié de mentionner que j’ai un gros clitoris mesurant 6,5 cm (et oui !) qui adore être stimulé et dont je suis très fière.

Mais rien ne vaut une photo pour voir la ‘’bête’’ :

ma première fellation récit candauliste

Quoi qu’il en soit, lors d’un mardi de l’été dernier, je venais de terminer mon footing, je suis rentré à la maison et j’ai décidé de m’allonger près de la piscine pour profiter du soleil et parfaire mon bronzage. C’était une journée magnifique, le soleil brillait et il faisait exceptionnellement chaud. Mon jardin étant bien isolé des regards indiscrets et mes voisins au travail, j’étais bien seule. J’ai mis un bikini, appliqué ma lotion de bronzage et je me suis étendue sur une chaise longue près de la piscine.

Les yeux fermés et légèrement endormie, j’ai entendu le bruit de la porte du jardin qui s’est ouverte. Je me suis réveillée soudainement et j’aurais dû être effrayée mais, pour une raison que j’ignore encore, je me suis sentie très excitée. Ma chatte a commencé à s’exciter aussi. Je devais rêver.

J’ouvris les yeux et devant moi se dressait un beau jeune homme musclé et tout bronzé. Il s’est excusé de me déranger et s’est présenté comme étant Terry et a dit qu’il était venu pour nettoyer la piscine. Normalement, la piscine devait être nettoyée le jeudi donc je ne m’attendais à voir personne débarquer chez moi un mardi. Il m’a expliqué que la compagnie de nettoyage de piscine ne pouvait pas envoyer quelqu’un le jeudi et a, donc, décidé de l’envoyer ce jour-là.

Bien réveillée, je me suis souvenue que je l’ai déjà vu. J’ai alors réalisé que j’étais couchée devant lui presque nue. Mes gros seins flasques étaient à peine couverts par mon haut de bikini blanc. Mes tétons étaient dressés et Terry ne pouvait pas détourner ses yeux de mes seins. Mes jambes étaient écartées. Comme je me rase à peine, des touffes de poils débordaient autour de mon bikini bien moulant. Plus grave encore, j’ai remarqué que ma chatte était mouillée et que mon clitoris était bien dressé ce qui le mettait bien en vue.

Je remarquai que son regard portait une attention particulière à mes seins et se déplaçait, parfois, vers mon entrejambe. Je me sentais de plus en plus excitée mais je me sentais, également, gênée car il était encore très jeune (il avait peut-être 20 ans). Il a, ensuite, commencé à s’excuser pour ce dérangement mais je pouvais voir clairement que sa bite s’est bien dressée dans son short. J’ai vraisemblablement attiré son attention.

Je me suis, alors, couverte de ma serviette et je suis allée chercher une autre boisson fraîche de la cuisine. C’était mon excuse pour m’éloigner un peu de lui et me remettre de mes émotions, mais l’excitation était trop intense et ne voulait plus me lâcher.

Après avoir rempli un verre de citronnade fraiche, j’ai laissé tomber la serviette et je me suis dirigée vers lui dans mon bikini blanc. Il était encore là où je l’ai laissé, figé près de la chaise longue, la queue raide et le visage rouge, il fixait mes seins qui se balancent, les tétons en érection, alors je m’avançais vers lui.

Je ne sais pas ce qui s’est passé ensuite. J’aurais dû m’arrêter mais je ne pouvais pas, il était, certes, plus jeune que moi, mais ça fait des années qu’un homme beau, viril et musclé ne m’a regardé et excité de cette façon. Je me sentais comme une salope, comme une chienne en chaleur prête à lui offrir mon corps.

Je lui ai donné le verre de citronnade et mon téléphone portable que j’ai soigneusement mis sur la fonction caméra vidéo et j’ai profité qu’il ait les mains ainsi prises pour me mettre à genoux devant lui, déboutonner son short, le baisser et atteindre, enfin, cette bite raide et palpitante d’excitation. Il se tenait là droit devant moi, n’exprimant aucune résistance. Bien dure, son pénis n’était pas, en fin de compte, très grand. Il était de taille moyenne, probablement d’environ 15 cm, mais comparé à la petite bite flasque de mon mari, il me semblait énorme. Bien lisse, il était courbé comme une banane mûre avec un gros gland pourpre et brillant et une puissante verge se terminant par une poche rasée de près renfermant deux gros testicules qui n’ont pas été vidés depuis quelques jours.

J’ai levé les yeux vers lui et j’ai vu qu’il avait fermé les siens pour apprécier pleinement cette situation surréaliste tout en fixant la camera vers moi, ayant compris que je voulais immortaliser la scène. C’était pour mon cher mari cocu qui adore me regarder gâter d’autres hommes.

Je me suis, alors, penché vers sa bite et j’ai mis son gland dans ma bouche. Il n’a pas pu résister à laisser échapper un soupir. J’ai continué à l’introduire dans ma bouche et j’ai commencé à le sucer avec avidité en essayant de faire de mon mieux pour emmener ce jeune garçon au 7ème ciel.

Il faut dire que mon mari a toujours voulu être mieux équipé. Il a toujours eu un problème avec la taille de son pénis. Pour une mystérieuse raison, je me suis surprise à penser à lui en suçant cette grosse queue qu’il n’a pas et en imaginant tout le plaisir qu’il ressentira en regardant la vidéo que je lui réserve.

Terry a instinctivement laissé tomber le verre vide sur la pelouse, a tendu la main et à dénouer le haut de mon bikini. Il a, ensuite, attrapé l’un de mes seins et a commencé à jouer avec mon téton en érection. Mon excitation a, tout à coup, explosé et ma chatte mouillée avait tellement faim qu’elle se mis à se contracter.

Imaginer cette scène : j’étais à genoux, topless, avec une bite d’un jeune homme de 20 ans dans ma bouche. C’était tellement excitant que j’ai commencé à vraiment sucer comme une vraie salope en enfonçant ce pénis dur et chaud jusqu’au fond de ma gorge avant de le ressortir dégoulinant de salive.

Après quelques minutes, j’ai sorti sa queue de ma bouche et lui ai demandé s’il aimait ça. Il n’arrivait plus à parler, il ne faisait que gémir de plaisir. Ces yeux encore fermés, je caressais sa queue rigide et tremblante avec une main tout en frottant ses couilles avec mon autre main. Elles étaient lourdes et beaucoup plus grosses que celles de mon mari. En voyant quelques gouttes d’un liquide encore transparent sortir de son pénis, je les ai léchées en faisant le tour de son gland bien gonflé, d’un violet profond, avec ma langue.

Le voyant à quelques secondes de l’orgasme, j’ai serré sa queue dans ma main et je l’ai suçais aussi rapidement que je le pouvais, puis j’ai commencé à frotter mon doigt autour de son anus et je l’ai enfoncé dedans. Il a alors poussé un gémissement tellement fort que le bas de mon bikini était littéralement trempé. Voyant qu’il aimait, aussi, ça, j’ai enfoncé mon doigt dans son cul pour lui masser la prostate.

Je pouvais sentir son rythme cardiaque s’accélérer et les quelques coups de hanche involontaires qu’il me donnait étaient bien le signe qu’il n’allait plus tarder à libérer son foutre.

Peu de temps après, il a marmonné qu’il allait éjaculer et j’ai sorti sa bite de ma bouche et lui ai demandé de me regarder et de tout filmer alors que je caressais encore sa bite d’une main et en lui massant la prostate de l’autre. Son anus se contractait convulsivement autour de mon doigt et sa prostate palpitait rapidement.

La première giclée a atterri sur mon visage avant que je pointe sa bite sur mes seins. Il sortait tellement de foutre que je ne pouvais le croire, un sperme chaud qui coulait vers le bas de mes seins et jusqu’à mon ventre. Quand il a finalement terminé, j’ai pris mes doigts et j’ai essuyé son sperme sur mon visage avant de le lécher.

Je pouvais sentir l’odeur musquée de son sperme. Je n’ai jamais vu autant de sperme auparavant et je n’en ai jamais eu, non plus, autant sur le corps.

L’orgasme passé et l’érection quasiment disparue, il s’est alors apeuré et a voulu partir. Il était nerveux que mon mari vienne à la maison et le surprenne, oubliant que toute la scène a été filmée. Il m’a donné mon téléphone et a insisté pour partir sur le champ. Je savais, à ce moment, que j’avais fait vivre à ce jeune homme la meilleure expérience sexuelle de sa vie et je pense que dans sa naïveté, il ne savait pas quoi faire ensuite.

Seule, j’étais assise sur ma chaise longue, topless, avec ce sperme encore frais partout sur moi et je me suis sentit comme une chienne sauvage frénétique en chaleur. Ma chatte était mouillée et mon clitoris douloureux tellement il était excité. À ce moment, j’aurais offert mon vagin à n’importe qui. Pour être franche, j’étais, également, fière de moi. Fière d’être encore attirante même pour un jeune homme de 20 ans, fière d’avoir fait vivre à cet inconnu une expérience inoubliable et fière d’avoir pu immortalisé ce moment torride pour partager mon plaisir avec mon mari, mon amour.

J’ai décidé, pour faire durer le plaisir et assouvir mes pulsion sexuelles animales, d’aller dans la chambre à coucher et de sortir mon gros godemiché de couleur chair de 20 cm. J’ai, alors, défoncer ma chatte trempée en imaginant ce que ça aurait été si le jeune Terry était resté pour continuer l’aventure avec moi. Je frottais fiévreusement mon clito gonflé jusqu’à atteindre l’un des orgasmes les plus intenses que je n’aie jamais eu de ma vie. En vraie femme fontaine, j’éjaculais comme un mec. Je pouvais à peine respirer.

 

Après mure réflexion, je ne pouvais pas croire que j’ai pu faire réellement quelque chose comme ça. Je suis une femme au foyer, d’âge moyen, mariée et habitant en banlieue. Je blâme ma luxure et je la mets sur le dos de mon traitement hormonal. Mais j’ai bien séduit un jeune homme et, pour être honnête avec moi-même, c’était fantastique. Je ne m’étais pas senti aussi vivante depuis longtemps. Maintenant, quand je me masturbe ou dans les rares occasions que mon mari se décide de me baiser, j’imagine cette jeune bite virile et raide qui s’enfonce en moi.

Je crois que chaque femme a déjà pensé à séduire un jeune homme comme ça, mais elles ont peur d’agir de la sorte pour assouvir leur désir. Mais moi, je l’ai fait !

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