Je suis mariée, et j’ai une fille. J’étais épanouie durant les premières années de mon mariage. Mais depuis un moment, je sentais que mon mari était distant, il semblait se lasser de moi. Je suis agent immobilier, et je décroche pas mal de contrats venant des quatre coins du pays. Je me déplace souvent. Lors de mes déplacements, j’ai toujours été droite et fidèle à mon mari. Quelques jours avant mon départ, j’ai découvert que mon mari consultait un forum candauliste et qu’il aimerait que j’ai un amant. J’étais en même temps surprise mais aussi excité à cette idée. J’ai fait mine de rien et je suis partie en mission pour faire visiter une maison et décrocher le contrat de vente.
Une première rencontre frappante
Je me suis habillé de façon sobre, mais assez légère, avec un pantalon palazzo noir moulant mes fesses et un caraco dentelle blanche. Arrivée à l’hôtel, je m’avance à la réception. Dans le hall, j’ai remarqué un homme. Un noir de grande taille, qui émanait une élégance sans pareille. Charmant et séducteur, il m’a lancé un regard assez troublant, je ne savais pas ce que cela signifiait.
Faisant mine de rien, je continuais ma route. Mais ce regard a éveillé, au fond de moi, une excitation que je n’ai plus ressentie depuis longtemps que je m’étais mise à regarder du sexe amateur le soir dans ma chambre.
Surprise, surprise !!
Le lendemain, je devais me retrouver avec un client dans le bien immobilier à vendre. Pour faire simple, j’ai mis une robe fluide mariant parfaitement mes hanches. Je me suis maquillée et je me suis faite belle pour être bien dans ma peau et cacher la peine. Un coup de téléphone a pressé mes pas, car le client m’y attendait déjà. Dans la foulée, je me suis trompé de sous-vêtement, et j’ai enfilé un string dentelle.
Arrivée dans la demeure, somptueuse, dite en passant, je me retrouve nez à nez avec le bel homme du hall de réception. Mon client était le gars qui me faisait de l’œil à mon arrivée. M’avançant vers lui, je tremblais. Je ne savais pas pourquoi. Il me faisait de l’effet, ça, c’était sûr.
Très souriant, il me lança une brève salutation. J’ai voulu rester professionnelle, et tant bien que mal j’ai réussi à lui faire faire le tour de la maison. Tout au long de la visite, j’ai remarqué qu’il se rapprochait de plus en plus de moi. Et que cela me plaisait fortement. Je tremblais toujours, mais pas d’anxiété ou de peur, mais de plaisir et d’excitation.
Des ébats dignes d’un Dieu
Notre visite s’est achevée devant la cheminée de la salle de séjour, qui donnait à une terrasse. Tout en lui tournant le dos, je faisais l’éloge de la vue magnifique qui s’offrait à lui. En une fraction de seconde, j’ai ressenti son souffle dans mon cou et son corps collé au mien.
Son parfum embaumait mon odorat, et sa chaleur m’enveloppait. Sa voix, grave et sensuelle, me chuchotant à l’oreille qu’il n’avait jamais vu une femme aussi belle que moi, me faisait frissonner. Je savais bien que c’était du charabia, mais sans que je puisse réagir, sa main caressait déjà entre mes jambes.
Il continua en me disant qu’il avait envie de moi depuis mon arrivée à l’hôtel. Son emprise et mon désir étaient si forts que je ne pouvais refuser. Je n’avais rien à dire, car mon corps s’exprimait à ma place. Il a retoqué par la suite qu’apparemment c’était réciproque, car je mouillais déjà.
Rapidement, il me faisait tourner et m’embrassait langoureusement. Je m’abandonnais à cette sensation pour retrouver la coquine que j’étais. Ces baisers dans mon cou et ses éloges à mon oreille n’ont pas mis longtemps à faire effet.
Je guidais ses mains vers mes fesses pour qu’il me caresse encore plus. Il me plaqua doucement contre le mur, et souleva ma robe. Il collait son sexe contre le ras de mes fesses pour me faire sentir sa verge bien raide.
Assez dominateur, il me tirait les cheveux pour ramener mes lèvres aux siennes. Ses mains guidaient les miennes pour que je lui déboutonne son pantalon. Une fois son pantalon descendu, j’ai été stupéfaite de son pénis à son touché. Une longue et volumineuse verge pour moi toute seule.
Ne me laissant pas le temps de fantasmer encore plus, il me demanda si je voulais être pénétrée. Je n’ai pu répondu qu’avec un gémissement, tellement son doigt me titillant mon clitoris me faisait perdre toute notion.
Délicatement, sa queue commençait à me dilater les lèvres. Il semblait apprécier mon humidité et ma chaleur. Me tenant par la hanche, il faisait des mouvements aphrodisiaques, m’amenant à l’extase, à l’orgasme.
Au bout de ma jouissance, je l’appelle pour qu’il sache qu’on me faisait jouir à sa place.
